Services éditoriaux

Services éditoriaux de Plumes Ascendantes

 

Plumes Ascendantes est un cabinet d’édition. En tant que tel, il propose aux auteurs l’édition classique (à l’occasion des concours de nouvelles et pour de courts roman), et surtout des services éditoriaux.

En tant que responsable éditoriale de la petite structure qu’est Plumes Ascendantes, j’assure la majorité des services : de la réception des manuscrits à la publication, en passant par les corrections et la mise en page du bon à tirer. Je m’occupe aussi de la diffusion et de la promotion.

Les illustrations sont réalisées par différents artistes selon le style et les attentes du roman et de son auteur : Eacone, JMX-studio, Big Bad Crow et Appoline Hespel sont nos illustrateurs.

Les infographies des couvertures sont prises en charge par l’agence OXO UP GRAPHIC.

 

Zoom sur…

LE SERVICE DE CORRECTION

 

Le service de correction est dévoué à Plumes Ascendantes. Je n’effectue aucune prestation pour des romans destinés à d’autres éditeurs ou pour l’auto-édition.

Les corrections apportées aux ouvrages le sont toujours avec soin, passion et professionnalisme.

 

Qui suis-je ?

J’ai eu envie d’écrire dès ma plus tendre enfance. En 2009, l’une de mes nouvelles a fait partie des lauréates d’un concours en arrivant à la troisième place. Je me suis ensuite lancée dans l’écriture de ce qui allait devenir mon premier roman. J’ai très vite ressenti le besoin d’améliorer mes compétences. Trouver le mot juste ou la formulation adéquate pour traduire une idée devenait primordial. C’est ainsi que j’ai suivi la formation de correctrice dispensée par le Centre d’Écriture et de Communication. Cette formation a été une révélation. J’ai découvert à quel point j’aimais corriger des textes, et pas seulement les miens !

De 2010 à 2018, j’ai travaillé pour des éditeurs, pour des auteurs indépendants et pour des étudiants. J’ai aussi beaucoup écrit. La liste de mes romans et nouvelles se trouve sur ma fiche auteure. D’autres projets de romans et de nouvelles sont en cours…

En 2019, au moment où j’ai créé le cabinet d’édition Plumes Ascendantes, j’ai souhaité valider mes acquis de l’expérience. En 2020, j’ai obtenu la « Licence professionnelle : écrivain public, conseil en écriture ».

J’ai eu l’opportunité d’intervenir sur tous types de documents : nouvelles, romans, thèses, mémoires, biographies, essais, etc.

Voici quelques exemples de livres que j’ai corrigés, en plus, bien sûr, de tous les livres publiés par Plumes Ascendantes :

Imaginaire

Essai

Développement personnel. Guide.

 

Depuis 2019, je me suis spécialisée dans la correction de récits d’imaginaire : science-fiction, fantasy et fantastique.

 

Missions

 

En tant que correctrice d’édition expérimentée et écrivaine publique diplômée de l’Université de Toulon, lorsque vos manuscrits sont retenus pour être publiés chez Plumes Ascendantes, que ce soit dans la branche “édition classique” ou dans la branche “services éditoriaux”, j’interviens sur les romans et les nouvelles de la même manière.

 

Première lecture : 

J’endosse d’abord le rôle de bêta-lectrice. Je (re)lis l’ouvrage comme n’importe quel livre : je me plonge dedans pour m’imprégner de l’ambiance, de votre univers et de votre style. L’objectif ici est de relever les incohérences de la narration, les redites, les oublis de personnages, les passages qui auraient besoin d’être développés, expliqués, ou au contraire raccourcis. Je m’attache aussi à mettre en évidence les points forts sur lesquels vous pourrez vous appuyer pour améliorer votre histoire.

 

Correction approfondie ou « rewriting » :

Ensuite, dès que vous avez revu votre manuscrit sur le fond, je m’attaque aux corrections approfondies de la forme : relever les répétitions, les pléonasmes, les erreurs de syntaxe et autres phrases peu claires ; proposer des synonymes, le “mot juste”, des réécritures, des reformulations, afin de révéler tout le potentiel de votre histoire ; corriger les coquilles, les erreurs de conjugaison, de grammaire et de ponctuation.

Je travaille sous Word, avec le suivi des modifications, afin que vous puissiez voir mes corrections. (Les documents envoyés au format Texte OpenDocument ne sont pas acceptés, ce sont des sources de conflits avec Word.)

Le « rewriting » est un travail complet et attentif sur votre texte, qui nécessite toujours une deuxième correction pour vérifier qu’aucun détail ne m’a échappé.

 

Correction simple :

Puis, après réception de votre manuscrit revu suite à la correction approfondie, je reprends tout. Plusieurs semaines se sont généralement écoulées entre ces deux phases de correction. Cela me permet de poser un œil neuf sur votre récit. Il y demeure toujours des coquilles, des maladresses et autres éléments problématiques qui apparaissent à présent que le texte est “élagué”. J’opère alors de nouvelles corrections et vous renvoie le tout pour approbation et commentaires.

 

Toutes ces étapes nous permettent d’avoir de très nombreux échanges par mail, par téléphone, parfois même autour d’un café si vous habitez dans le Var. Nous discutons beaucoup de votre livre. En parallèle du travail de correction, nous abordons l’illustration de couverture, d’éventuelles illustrations intérieures (cartes, portraits de personnages…), votre biographie, la quatrième de couverture, etc.

Ce dialogue est indispensable pour nouer une relation de confiance, nous comprendre et travailler main dans la main à la réalisation d’un objectif commun : la parution d’un très bel ouvrage.

 

Suite à tous ces échanges, une fois le manuscrit validé par nos deux parties, le texte est mis en page dans le bon à tirer. Ce BAT est imprimé sur papier et vous est envoyé pour validation. Vous pouvez y apporter d’ultimes annotations et modifications.

 

Ça y est ! Le livre va être envoyé chez l’imprimeur et le diffuseur/distributeur. Pour autant, l’aventure ne s’arrête pas là ! Notre collaboration continue autour de la promotion du livre. Nous travaillons ensemble à la préparation des visuels et textes qui seront publiés sur les réseaux sociaux afin de faire connaître votre œuvre.

Pour finir, vous tenez enfin le livre dans vos mains… Vient alors le temps des dédicaces et des salons. Un temps durant lequel je pourrai vous accompagner si vous habitez dans mon département. Un temps crucial pour votre livre et son succès !

 

Obligations

Il est important pour moi que nous puissions créer une relation de confiance dès le début, afin que je puisse réaliser un travail de qualité et que vous puissiez me faire part de vos remarques sans ambiguïté. Cette relation passe par trois points essentiels :

 

 

Tarifs

Ne sont concernés que les manuscrits pris en charge par la branche “services éditoriaux”.

Toutes mes prestations font l’objet d’un devis personnalisé.

Celui-ci détaille le coût de la bêta-lecture, de la préparation de copie, des corrections, de la préparation du bon à tirer, de l’illustration de couverture, de l’infographie de couverture, de la promotion effectuée sur les différents réseaux et canaux de diffusion.

Contact : plumesascendantes@outlook.fr

 

Quelques règles pour vous aider

 

À nouveau ou de nouveau ?

La locution à nouveau signifie « pour la seconde fois et de façon différente », alors que de nouveau signifie simplement « derechef, une fois encore, une fois de plus ».

(Voir le site Web de l’Académie française.)

 

Ceci ou cela ?

Ceci se rapporte à ce que l’on va dire, cela à ce qui vient d’être dit.

 

Faut-il une majuscule ou pas à général, et autres grades militaires ?

Il est préférable de mettre la majuscule au grade militaire dans le cas où l’on s’adresse à la personne. En revanche, la majuscule n’est pas requise quand on parle de la personne, ou quand le grade est mentionné dans la narration.

J’en profite pour préciser que le terme caractérisant une fonction, un titre ou une charge civile prend toujours une majuscule. Exemple : le ministre de l’Environnement. Les président et vice-président sont traités comme les grades militaires.

 

Avis d’auteurs sur mes prestations

 

0Val (11.08.24) : “Hélène est allée au bout de la compréhension de mon texte, soulignant parfois des éléments pour lesquels ma propre réflexion n’était pas encore aboutie et m’aidant à la conduire. Elle m’a aidée à améliorer mon style sans le dénaturer grâce à des propositions toujours pertinentes discutées en bonne intelligence.”

Giger Cobb (23.08.24) : “Rédacteur juridique, ancien avocat, je pensais être un professionnel aguerri de l’écrit. C’était avant de bénéficier des corrections éditoriales d’Hélène Gravelines. Humilité requise. Elle m’a montré ce que les mots “ciselé” et “minutie” signifient. Ma copie était striée de rouge et de commentaires. S’agissant du style, Hélène est parvenue à le pousser à des niveaux d’élégance incroyablement exquis là où je pensais avoir atteint seul une forme de perfection. Pour ce qui est de la narration, Hélène verse dans l’excellence avec sa maîtrise des techniques d’administration de l’intrigue. Elle a une réelle capacité à expurger le récit de ses défauts structurels et a apporté un surcroît de suspense à mon récit. Quant à l‘univers du texte, Hélène a à cœur de le crédibiliser en suggérant respectueusement de repenser certaines descriptions de personnages, de décors et d’actions. Hélène a cette capacité à doser l’équilibre entre précision des descriptions qui s’imposent dans l’imaginaire du lecteur, mais aussi de jouer habilement sur la puissance d’évocation pour stimuler nos “théâtres intérieurs”. Hélène n’est en rien une vulgaire traqueuse de coquilles. Bien au contraire, elle vous fait bénéficier de son expérience littéraire, en tant que praticienne et professionnelle polyvalente, mais aussi en tant que lectrice et passionnée des genres de l’imaginaire. Elle fournit bien plus qu’une simple prestation de service monnayable. C’est une expérience de mentorat.”

J.-F. Salaün (12.09.24) : “Quelque temps après l’annonce des résultats du concours, j’ai reçu la version de ma nouvelle passée au filtre des corrections d’Hélène : 500 révisions, pour 15 pages A4 ! Alors qu’avant d’envoyer mon texte pour le concours de nouvelles, je l’avais lu et relu (j’ai horreur des fautes d’orthographe et de grammaire), que je l’avais fait relire également à une autre personne, je me demandais bien ce qui pouvait se cacher derrière ces 500 révisions. Tout d’abord, Hélène a pointé quelques fautes d’orthographe et de grammaire résiduelles. L’humain, allié au correcteur automatique d’orthographe ne sont pas infaillibles… Puis, j’ai découvert les fautes de typographie : accent manquant sur quelques « A » majuscules, notation des heures, uniformisation des styles de guillemets, etc. Hélène m’a permis d’obtenir un texte final qui respecte ces règles. À mon avis, le lecteur ressent qu’il y a quelque chose qui cloche dans un texte qui ne respecte pas ces règles. Une fois le texte mis d’aplomb, le résultat est, à mon sens, beaucoup plus professionnel. Le plus difficile, pour moi, à corriger, ce sont les répétitions. Lorsque le même mot est employé à une ou deux phrases d’intervalle, le résultat est lourd. Je n’avais jamais fait attention à ce défaut auparavant, et il y en avait beaucoup dans mon texte. Heureusement, Hélène les avait surlignées avec des couleurs spécifiques pour chaque répétition. De mon côté, pour résoudre cette difficulté, j’ai utilisé des synonymes ou des reformulations. Un dictionnaire des analogies est ce qui m’a le plus aidé. Pour chaque mot de ce dictionnaire, on obtient, au-delà des simples synonymes, tout le champ de vocabulaire associé . Cela permet de contourner le problème de répétition de façon plus fluide. Les phrases maladroites, les tournures lourdes : Hélène a inséré en commentaire des propositions de reformulation.  Cela m’a permis d’apprendre que souvent il suffit de simplifier, de suivre un chemin moins sinueux, pour exprimer clairement sa pensée. Comme l’écrivait Nicolas Boileau au XVIIe siècle : « Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément. » Enfin, après la forme le fond : le travail de correction d’Hélène m’a permis de détecter quelques petites incohérences dans mon récit. Son travail de correction ne s’est donc pas borné à la forme, mais s’est attaché aussi beaucoup au fond. En conclusion, et pour citer à nouveau Nicolas Boileau : « Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage, Polissez-le sans cesse, et le repolissez ». La correction est une étape très importante de polissage du texte, en espérant que ce soit la dernière… avant le passage à l’impression.